Lorsque j’annonce que je photographie les éoliennes, mes amis m’opposent souvent que ces énormes machines gâchent le paysage, qu’elles font du bruit, qu’elles entrainent des conséquences sur la réception des ondes hertziennes et bien d’autres calamités encore.
Je comprends que les plus proches voisins soient incommodés par le souffle de la rotation de ces bras géants qui animent le paysage…
Personnellement, je trouve ces grandes machines plutôt belles, élégantes, mues par une lente rotation, presque apaisantes.
Plus besoin de réveiller le meunier car son « moulin va trop vite ». La régulation automatique en calme l’ardeur lorsque le vent souffle trop fort.
Je photographie régulièrement ces épouses d’éole qui nous fournissent leur énergie électrique, en libérant la planète de ce CO2 qui nous étouffe et nous réchauffe abusivement.
Oui mais les photos d’éoliennes sont quasiment toujours les mêmes, avec leur trois pales à 120 degrés. Elles sont toutes d’un gris moyen et même sur un fond bleu, elles ne font pas sensation.
M’est alors venue l’idée de les animer et de leur afficher 9 pales. Tout récemment je les représente avec une véritable marguerite , simulant la rotation des machines. Je vous livre le fruit de mon travail.
Un peu de patience, je vous explique tout très bientôt, dans un prochain article.
Oui mais, chemin faisant, j’imagine de nouvelles opportunités et de nouvelles représentation de ces étranges machines.
Ce sera un travail sans doute assez long, car il faut préalablement choisir le moment opportun en terme de lumière, de direction et de vitesse du vent.
Je vous livre ici, une nouvelle photo prise sur le site de Boquého Plouagat en ce mois d’avril 2019.